Garçon cuisinier

Théodule Ribot

Saint-Nicolas-d'Attez, 1823 - Colombes, 1891)

S. d.
Huile sur bois
29 x 18 cm
P. 101
Legs Joseph Belat, 1905
© Musée de Valence, photographie Béatrice Roussel

Information

Après une période de vie précaire et de métiers de subsistance, Théodule Ribot accède à une reconnaissance publique et critique lors du Salon de 1861. Il y présente cinq tableaux dont quatre lui valent le surnom de « peintre des cuisiniers ». Si l’artiste s’adonne également aux scènes historiques et religieuses et livre de nombreux portraits, il est l’un des peintres de genre les plus appréciés de son époque.
 
Alors que la gastronomie s’installe dans la société, il contribue à populariser les métiers de bouche dans des peintures réalistes très appréciées des collectionneurs. Dans un clair-obscur emprunté à l’art du 17e siècle, ce garçon cuisinier, aux bonnet et habit caractéristiques, impose sa verticalité blanche que vient juste contraster la masse rouge de la viande.
 
Cette œuvre n’est pas exposée dans le musée actuellement

Théodule Ribot, Garçon Cuisinier, 19ème s. © Musée de Valence, photographie Béatrice Roussel

Théodule Ribot, Garçon Cuisinier, Huile sur bois, 19ème s. © Musée de Valence, photographie Béatrice Roussel

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